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Hommes de courage

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Voici des témoignages écrits par des hommes affectés par le cancer de la prostate. Vous pouvez nous envoyer votre témoignage en nous écrivant à info@procure.ca.

Témoignages d'hommes

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Mon rêve

Après trois marathons, une multitude de Demi-Marathons et un entraînement de près de quatre mois à courir entre 80 et 100 kilomètres par semaine enfin me voici au départ du Marathon de Boston. Mon rêve, mes olympiques à moi!

Par contre, tout ne se passe pas comme je l’avais prévu. Au 13e kilomètre une douleur apparaît au haut de la cuisse gauche. Qu’à cela ne tienne! Pas question d’abandonner mon rêve. Mais au fur et à mesure que les kilomètres défilent la douleur augmente… Découvrez la suite en cliquant ici

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Alain Servant a pendant 7 ans effectué une surveillance active pour son cancer de la prostate. Aujourd’hui et après une ablation de la prostate en 2019, Alain est en pleine forme avec un dernier test qui montre un PSA indétectable! Bravo Alain!

« J’ai suivi ce genre surveillance pour mon cancer de la prostate. J’ai eu un diagnostic de cancer en 2012 et pendant 7 ans j’ai eu ce suivi. Vers la fin 2019, j’ai subi l’opération pour enlever la prostate, aucun regret d’avoir attendu 7 ans avant de subir l’opération. Opéré depuis fin novembre 2019 aujourd’hui en pleine forme plus d’incontinence. On continu le suivi dernier test montre un PSA indétectable. Si cela peut aider quelqu’un et lui donner espoir ça me fait plaisir. Après l’opération du cancer de la prostate, ce n’est pas la fin du monde. Merci encore. »

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Je voudrais exprimer, humblement, toute ma gratitude et ma reconnaissance à PROCURE et particulièrement à deux personnes qui m’ont accueilli au téléphone et écouté ma souffrance. Il y a environ un mois et demi, Marie Christine m’a accueilli au téléphone avec beaucoup d’empathie et d’humanité alors que j’étais en détresse après l’annonce d’un cancer de la prostate et que les examens pour voir le champ d’expansion retardaient… Découvrez la suite en cliquant ici

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Au printemps 2014, alors que j’avais 60 ans, j’ai eu une perte de conscience soudaine et inexpliquée. Mon médecin m’a alors prescrit une batterie de tests qui a révélé, entre autres, un APS dépassant la normale. Mon médecin m’a donc référé à un urologue qui après une biopsie a diagnostiqué, en novembre 2014, un cancer de la prostate de Gleason 7… Découvrez la suite en cliquant ici

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Depuis l’âge de 52 ans, je passe un examen médical complet tous les ans. En janvier 2013, mon médecin me faisait remarquer que mon taux de l’APS avait commencé à monter (j’étais à 4,18) et qu’il fallait commencer à surveiller cette hausse. En septembre 2014, j’étais rendu à 4,75. En juillet 2015, j’étais rendu à 6,01 ; il fallait vraiment suivre ça de plus près. En octobre 2015, j’étais rendu à 8,51… Découvrez la suite en cliquant ici

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Pour moi le choc fut peut-être un peu moindre que les autres d’apprendre que j’avais le cancer de la prostate, mon père en étant atteint à l’âge de 55 ans. Néanmoins à 53 ans et étant particulièrement en forme, j’ai dû me concentrer fortement pour traverser l’île de Montréal après avoir entendu le fameux mot cancer. De retour dans ma région de l ‘Abitibi, je prends rendez-vous avec un urologue, mon choix de traitement étant déjà décidé et discuté avec ma conjointe… Découvrez la suite en cliquant ici

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Lorsque j’ai reçu mon diagnostic en 2003, je n’ai pas hésité une seconde, j’ai mis toutes les chances de mon côté. J’ai d’abord cessé de fumer, je me suis mis à l’exercice intensif au gym et j’ai modifié mon alimentation : moins d’alcool et beaucoup plus de légumes verts… Il est important de se prendre en main. Et de suivre les thérapies nécessaires… Découvrez la suite en cliquant ici

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La semaine du 18 au 24 septembre 2011 est la semaine de sensibilisation au cancer de la prostate. J’aimerais que mon histoire puisse contribuer à vous faire comprendre l’anxiété, le stress et l’inquiétude que j’ai connue en novembre 2006 alors qu’après le test de l’APS, une biopsie et autres examens mon urologue m’annonçait que j’étais atteint ce cancer. Je veux partager avec vous mon histoire car je suis aujourd’hui un survivant!… Découvrez la suite en cliquant ici

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Je suis un fervent du golf. J’aime ce sport qui nous oblige à relever de nombreux défis. Pour tous les golfeurs, faire un bon coup ou battre son propre record est très gratifiant. Pourtant, en apprenant que j’étais atteint du cancer de la prostate, j’étais loin d’être prêt à relever les nombreux défis liés à l’apparition de la maladie. Permettez-moi de retourner dix ans en arrière : à 59 ans, j’apprends, lors d’un bilan médical annuel, que ma concentration d’ASP est plus élevée que la normale… Découvrez la suite en cliquant ici

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Que de publicité autour de la fameuse « Liberté 55 »! Et pour cause: 55 ans est l’âge où l’on songe à prendre sa retraite et à profiter de la vie, après des années de travail. Mais pour moi qui, de plus, suis planificateur financier et assureur vie agréé, le chiffre magique de mes 55 ans fut le début d’un cauchemar. C’était du moins ce que j’avais l’impression de vivre à l’époque… Découvrez la suite en cliquant ici

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À 56 ans n’ayant jamais été malade et me croyant un peu invincible comme plusieurs collègues policiers actifs ou retraités, j’apprends avec stupéfaction après des examens de routine que je suis atteint du cancer de la prostate. Après l’opération et les soins en hormonothérapie et en radiologie, j’écoute les conseils de mon médecin et je décide de tout mettre en œuvre dans mon processus de guérison.

Je diminue mes activités professionnelles reliées à un grand stress quotidien, je modifie mes habitudes alimentaires, je reprends un entraînement intensif, dont plus de 5000 kilomètres à vélo durant la saison estivale, je prends enfin le temps de relaxer et de profiter quotidiennement de l’amour de ma famille.

Je m’implique comme bénévole chez PROCURE et avec l’équipe de support au cancer de la prostate du CHUM afin de partager expérience et espoir avec ceux qui sont terrassés par le diagnostic de ce type de cancer. Favoriser le dépistage précoce, et être le principal artisan de sa guérison sont gages de succès.

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Apprendre que l’on a le cancer c’est un choc, apprendre qu’il revient nous frapper une troisième fois c’est terrible. Malgré tout on se relève, on se remet en marche, mais rien n’est plus comme avant. Je me suis remis en marche appuyée par ma famille, mes amis et l’équipe de Procure. J’ai changé ma façon de voir la vie, je prends le temps de savourer les bons moments de la vie, avec ceux que j’aime et de faire les choses qui sont importantes à mes yeux.

J’ai aussi changé la façon de m’alimenter, plus santé plus bio et j’ai réduit de beaucoup mes heures de travail jusqu’à prendre ma retraite de façon prématurée.

Carl Jung a dit que « la maladie est un signe que la vie nous envoi pour nous guérir » je ne sais pas si c’est le cas, mais en tous cas je vie dans le moment présent et je suis maintenant serein et remplit de bonheur. Et chaque jour je suis heureux de vieillir.

Encourager la recherche c’est nous donner de l’espoir et de l’énergie pour continuer.

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J’appréhendais la vérité et j’ai toujours cru que j’étais un candidat à risque pour le cancer de la prostate depuis que mon père a été diagnostiqué et opéré vers l’âge de 69 ans. Je dois avouer que j’espérais le contraire. J’en parlais avec mon médecin de famille lors de mes examens annuels et celui-ci a entamé un dépistage en bonne et due forme à mes 53 ans. L’examen physique ne révélait pas une prostate anormalement grosse… Découvrez la suite en cliquant ici

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19 avril 2004. Résultat de prises de sang demandées avant de fermer un dossier médical, prises de sang qui, jusque-là, était routinières, mais le résultat cette fois-ci est plutôt inquiétant. Taux d’APS élevé, 48, d’après l’urologue qui réclame sans tarder une biopsie; ce qui se fait rapidement, trois jours plus tard. Une certaine appréhension commence à se manifester chez moi, sans plus…Ce qui ne m’empêche pas de finaliser un engagement de travail à l’extérieur de Montréal… Découvrez la suite en cliquant ici

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Voici en bref l’histoire de mon expérience du cancer de la prostate, la description de mes traitements et un aperçu de l’impact de la maladie sur ma vie. Depuis un certain temps, mon médecin de famille surveillait l’état de ma prostate élargie jusqu’au jour où il décida d’approfondir l’investigation. Il m’envoya consulter un urologue. Ce dernier me fit passer une échographie pour évaluer avec précision l’état de ma prostate et, au besoin, pratiquer des biopsies… Découvrez la suite en cliquant ici

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J’avais 56 ans lorsque durant un examen médical, mon médecin a senti une petite bosse sur ma prostate. Rien de sérieux, croyait-il, mais il tenait à effectuer d’autres tests. Le premier, une analyse sanguine pour mesurer mon taux d’ASP affichait le nombre 2. Il m’envoya donc consulter un urologue qui, lui aussi, semblait confiant, tout comme le spécialiste qui avait pratiqué la biopsie. Je n’étais donc pas prêt à recevoir le résultat final qui confirmait l’existence d’un cancer de la prostate… Découvrez la suite en cliquant ici

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Tout allait si bien au début des années 1990, notre équipe avait remporté le championnat provincial de curling masculin senior du Québec en 1992, j’avais aidé à convaincre le Comité international olympique de faire du curling un sport olympique et je me préparais à participer aux Jeux Olympiques d’Atlanta à titre de consultant pour la CBC et Radio Canada… Découvrez la

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Nous sommes en 1996. J’ai 59 ans. Lors de mon rendez-vous médical annuel, on m’annonce les résultats de mon taux d’ASP: 4,3. L’urologue recommandé par mon médecin me suggère alors de subir une échographie transrectale et des biopsies. Les résultats révèlent l’existence d’un cancer de la prostate et d’un grade de Gleason de 3/10, occupant environ 10% de l’échantillon #3… Découvrez la suite en cliquant ici

Lisez les témoignages écrits par des femmes agissant à titre d’aidantes naturelles auprès des hommes.

 

Témoignages sur vidéos

Sur notre chaîne YouTube, vous pourrez voir des témoignages racontés avec gentillesse et candeur par des personnes touchées par le cancer de la prostate. Nous leur en sommes très reconnaissants. Vous pouvez-les visionner en cliquant ici.

Si vous désirez en faire autant, n’hésitez pas à communiquer avec nous à info@procure.ca afin que nous puissions vous guider sur la production de votre propre témoignage sur vidéo et comment nous la faire parvenir.

 

Vous cherchez comment faire une différence?

Le cancer de la prostate et le développement d’outils de recherche pour lutter contre ce cancer sont des causes qui vous tiennent à cœur? Devenez bénévole pour PROCURE! Grâce à votre aide, nous pourrons augmenter notre rayonnement auprès du public et mieux sensibiliser les personnes à cette maladie. Pour en savoir plus, cliquez-ici.

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Sources et références
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