Réduire ses risques
Dans cette page:
Découvrez notre capsule animée!
Symptômes, risques et dépistage.
Vous avez plus de 50 ans
ou vous avez des problèmes urinaires depuis quelque temps?
Cette capsule est pour vous! Plusieurs maladies peuvent affecter votre prostate, et il est important de les dépister tôt. Regardons-y de plus près ensemble.
Comment le prévenir
Bien que le cancer de la prostate soit une maladie quelque peu complexe, il semble qu’avoir une bonne nutrition et un mode de vie sain puisse possiblement réduire l’incidence du cancer de la prostate, ralentir sa progression et aider avec certains des effets secondaires du traitement.
Nous savons que les hommes dans les pays occidentaux, tels qu’en Amérique du Nord, sont plus susceptibles d’avoir un cancer de la prostate que les hommes dans les pays d’Asie orientale tels que la Chine et le Japon. Les hommes asiatiques établis en Amérique du Nord depuis au moins une génération courent les mêmes risques que les Nord-Américains de souche.
Cela peut être à cause du régime alimentaire occidental, qui contient moins de fruits, de légumes et de poissons, et plus de viande, de produits laitiers, de sucre, de graisses et d’aliments transformés.
Comprendre le rôle de l’alimentation
Il existe de nombreuses études en cours qui tentent de mieux comprendre le lien entre l’alimentation et le cancer de la prostate.
L’alimentation joue possiblement un rôle dans l’apparition et la progression du cancer de la prostate même si l’ensemble des données abordées reste spéculatif et en évolution. En adoptant une alimentation saine, il est possible d’obtenir des résultats tangibles tant pour prévenir le cancer de la prostate que pour en ralentir la progression.
Nous ne savons toujours pas si un des aliments individuels augmente le risque de cancer de la prostate. Certaines études suggèrent que certains aliments spécifiques pourraient augmenter votre risque d’être diagnostiqué avec un cancer de la prostate.
Prévenir le cancer: Comment réduire les risques
Maladie effroyable et énigmatique, le cancer est très souvent perçu comme une calamité qui frappe au hasard, une adversité contre laquelle nous sommes impuissants. Ce sentiment d’impuissance n’a cependant pas sa raison d’être, car quantité d’études ont démontré qu’il existe un lien direct entre le tabagisme, le surpoids, la sédentarité, l’alimentation, l’exposition aux rayons ultraviolets, le manque de sommeil et la progression du cancer, et que la plupart des décès dus aux cancers actuels pourraient être évités par de simples modifications du mode de vie.
Pour vous procurez le livre, cliquez sur le lien suivant ou l’image ci-dessous – Prévenir le cancer: Comment réduire les risques
Limiter certains aliments
Viande rouge ou transformée
Des études ont démontré que la consommation de la viande rouge ou transformée, comme les saucisses, les hamburgers, le bacon, les charcuteries et le jambon, pourrait augmenter votre risque de cancer de la prostate.
On pense qu’une alimentation riche en graisses animales pourrait causer une surproduction de polluants (radicaux libres) dans l’organisme, s’attaquant aux tissus et aux cellules de l’organisme, accélérant ainsi leur vieillissement ou même leur destruction.
Si vous voulez réduire la quantité de viande rouge et transformée dans votre alimentation, vous pouvez essayer de manger du poulet, de la dinde ou du poisson à la place.
Produits laitiers
Certaines études ont montré que manger ou boire beaucoup de produits laitiers, comme le lait ou le fromage, pourrait augmenter votre risque de cancer de la prostate.
En fait, l’ingestion de produits laitiers riches en calcium a été associée à un risque augmenté de cancer de la prostate en plus de faire baisser le taux de vitamine D dans le sang. C’est le surplus de calcium et la déficience en vitamine D qui augmenteraient le risque.
Nous avons besoin de plus de recherches pour savoir si manger moins de calcium ou moins de produits laitiers pourrait aider à prévenir le cancer de la prostate. Mais vous avez besoin du calcium – environ 800mg par jour – pour garder vos os en bonne santé. Vous pouvez obtenir 800mg de calcium en ayant un verre 200ml de lait, 30g de fromage et un petit yogourt. Pour l’instant, il est généralement recommandé d’éviter de consommer plus de calcium que la dose quotidienne habituelle.
Autres aliments
En outre, diverses autres études portant sur l’association entre le régime alimentaire et le risque de cancer de la prostate ont démontré qu’un régime à haute teneur en gras (saturé ou trans) peut faire augmenter le risque de cancer de la prostate.
Pour en savoir davantage sur le rôle des choix et des suppléments alimentaires dans un contexte de prévention du cancer de la prostate, veuillez consulter notre section sur la nutrition et poids santé.
Les suppléments
Certaines personnes prennent des suppléments pour essayer de réduire leur risque de cancer, mais des études suggèrent que certains suppléments peuvent en fait augmenter votre risque de cancer.
La meilleure façon d’obtenir toutes les vitamines, minéraux et autres nutriments dont votre corps a besoin est de manger une alimentation saine et équilibrée, y compris beaucoup de fruits et légumes. Si vous utilisez des suppléments, ne prenez pas plus que la dose journalière recommandée.
Maintenir un poids santé
Le poids santé n’est pas le même pour tout le monde; c’est pourquoi nous vous invitons à consulter votre médecin afin de savoir quel est votre poids santé à vous. Avoir un poids santé ne signifie pas être maigre comme un mannequin; par contre vous pourriez avoir des surprises en apprenant combien de kilos « superflus » font de vous une personne obèse ou simplement qui fait de l’embonpoint, d’un point de vue médical.
Certaines études récentes démontrent que les hommes qui font de l’embonpoint ou qui sont obèses risquent davantage de recevoir un diagnostic de cancer de la prostate qui est avancé ou qui s’est déjà propagé (métastases) à d’autres parties du corps.
Les études démontrent que le maintien d’un poids santé réduit le risque personnel de cancer.
Bien manger
Qu’est-ce qu’un régime alimentaire sain
Bien manger, cela commence par la consommation d’une variété d’aliments au quotidien afin d’obtenir tous les éléments nutritifs essentiels à une bonne santé.
C’est avant tout une question d’équilibre, de modération et de variété. Une saine alimentation – comprenant beaucoup de légumes et de fruits, beaucoup de fibres, des protéines faibles en gras provenant du poisson, de la volaille et des viandes maigres ainsi que peu de gras et de sel – vous aidera à maintenir un poids santé.
Suivre le Guide alimentaire canadien peut vous aider à:
- satisfaire vos besoins en vitamines, minéraux et autres nutriments
- réduire votre risque de maladie cardiaque
- contribuer à votre santé et votre énergie en général
Il indique le nombre de portions de chaque groupe d’aliments que les hommes âgés de 51 ans et plus devraient consommer par jour.
Légumes et fruits (7-9 portions)
Visez à manger au moins un légume vert foncé et un légume orange par jour.
- La laitue romaine, les épinards et le brocoli sont des exemples de légumes vert foncé
- Les patates douces, les carottes et les courges fonctionnent bien comme légumes orange
Cherchez des fruits et des légumes cuits à la vapeur, cuits au four ou sautés – et évitez ceux qui sont frits.
- Il est préférable de choisir des légumes et des fruits qui ne sont pas préparés avec beaucoup de sel, de matières grasses ou de sucres ajoutés
Choisissez des fruits et des légumes entiers plus souvent que le jus, pour réaliser votre objectif de portions quotidiennes.
Céréales (7 portions)
Les céréales entières devraient constituer au moins la moitié de vos portions quotidiennes de céréales.
- Recherchez des options de grains entiers comme l’orge, le riz brun, le quinoa, l’avoine, le riz sauvage, les pains et pâtes de grains entiers
Comparez les informations nutritionnelles – et choisissez des céréales à faible teneur en sel, en matières grasses et en sucre.
Produits laitiers et substituts (3 portions)
Choisissez des produits laitiers à faible teneur en matières grasses.
- Pour les produits laitiers (tels que les fromages et les yaourts), comparez les informations nutritionnelles et choisissez des options qui ont une teneur faible en matières grasses
Buvez du lait chaque jour.
- Vous devriez viser à boire 2 verres de lait par jour pour s’assurer que vous obtenez assez de vitamine D
- Choisissez soit le lait écrémé, le lait 1% ou 2%, ou des boissons de soya enrichies
Viandes et substituts (3 portions)
Cherchez des viandes maigres et des substituts qui ont peu de sel et de graisse ajoutés.
- Enlevez la peau de la volaille et la graisse visible sur la viande
- Faites cuire, rôtir ou pocher les viandes préparées et les autres substituts
- Lors du choix de viandes préemballées, comparez les informations nutritionnelles et choisissez celles avec le moins de sodium et de graisse
Consommez au moins 2 portions de poisson par semaine.
- Par exemple, vous pouvez choisir de manger du hareng, de l’omble, du maquereau, du saumon ou de la truite
Être actif
L’importance de l’activité physiques
Ne vous laissez pas intimider par l’idée de pratiquer une « activité physique ». S’entraîner au gym ou s’adonner à un sport est excellent, mais il existe bien d’autres moyens d’être actif.
Visez à faire au moins 150 minutes (2,5 heures) d’exercice modéré par semaine, comme la marche rapide, le vélo ou pousser une tondeuse à gazon. À titre d’exemple, il a été démontré que marcher 20 minutes par jour, soit l’équivalent de 1.6 km, réduit de 30% le risque de cancer de la prostate.
L’exercice doit être suffisamment dynamique sans être trop demandant. L’important est d’augmenter la fréquence cardiaque. Voici quelques trucs pour être actifs.
Nous sommes là pour vous
Vous avez des questions ou des préoccupations? Surtout, n’hésitez pas. Contactez-nous au 1 855 899-2873 pour discuter avec un de nos professionnels de la santé spécialisés en uro-oncologie. Ils sont là pour écouter, soutenir et répondre à vos questions, celles de votre famille ou de vos proches. C’est simple et gratuit, comme tous nos services d’ailleurs.
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Sources et références
- Le cancer de la prostate – Comprendre la maladie et ses traitements; Fred Saad, MD, FRCSC et Michael McCormack, MD, FRCSC, 4e édition
- Société canadienne du cancer
- Prostate Cancer Foundation-PCF.org
- National Cancer Institute-USA
- American Cancer Society
- Memorial Sloan Kettering Cancer Center
- Prostate Cancer UK
Prévenir le cancer: Comment réduire les risques
Maladie effroyable et énigmatique, le cancer est très souvent perçu comme une calamité qui frappe au hasard, une adversité contre laquelle nous sommes impuissants. Ce sentiment d’impuissance n’a cependant pas sa raison d’être, car quantité d’études ont démontré qu’il existe un lien direct entre le tabagisme, le surpoids, la sédentarité, l’alimentation, l’exposition aux rayons ultraviolets, le manque de sommeil et la progression du cancer, et que la plupart des décès dus aux cancers actuels pourraient être évités par de simples modifications du mode de vie.
Pour vous procurez le livre, cliquez sur le lien suivant ou l’image ci-dessous – Prévenir le cancer: Comment réduire les risques
Dernière révision médicale et éditoriale: Juillet 2023
Rédigé par PROCURE. © Tous droits réservés
Réduire ses risques
- Êtes-vous à risque?
- Réduire ses risques
- Comment le prévenir
- Bien manger
- Être actif
Réduire ses risques
Bien que le cancer de la prostate soit une maladie quelque peu complexe, il semble qu’avoir une bonne nutrition et un mode de vie sain puisse possiblement réduire l’incidence du cancer de la prostate, ralentir sa progression et aider avec certains des effets secondaires du traitement.
Nous savons que les hommes dans les pays occidentaux, tels qu’en Amérique du Nord, sont plus susceptibles d’avoir un cancer de la prostate que les hommes dans les pays d’Asie orientale tels que la Chine et le Japon. Les hommes asiatiques établis en Amérique du Nord depuis au moins une génération courent les mêmes risques que les Nord-Américains de souche.
Cela peut être à cause du régime alimentaire occidental, qui contient moins de fruits, de légumes et de poissons, et plus de viande, de produits laitiers, de sucre, de graisses et d’aliments transformés.
Comprendre le rôle de l’alimentation
Il existe de nombreuses études en cours qui tentent de mieux comprendre le lien entre l’alimentation et le cancer de la prostate.
L’alimentation joue possiblement un rôle dans l’apparition et la progression du cancer de la prostate même si l’ensemble des données abordées reste spéculatif et en évolution. En adoptant une alimentation saine, il est possible d’obtenir des résultats tangibles tant pour prévenir le cancer de la prostate que pour en ralentir la progression.
Nous ne savons toujours pas si un des aliments individuels augmente le risque de cancer de la prostate. Certaines études suggèrent que certains aliments spécifiques pourraient augmenter votre risque d’être diagnostiqué avec un cancer de la prostate.
Limiter certains aliments
Viande rouge ou transformée
Des études ont démontré que la consommation de la viande rouge ou transformée, comme les saucisses, les hamburgers, le bacon, les charcuteries et le jambon, pourrait augmenter votre risque de cancer de la prostate.
On pense qu’une alimentation riche en graisses animales pourrait causer une surproduction de polluants (radicaux libres) dans l’organisme, s’attaquant aux tissus et aux cellules de l’organisme, accélérant ainsi leur vieillissement ou même leur destruction.
Si vous voulez réduire la quantité de viande rouge et transformée dans votre alimentation, vous pouvez essayer de manger du poulet, de la dinde ou du poisson à la place.
Produits laitiers
Certaines études ont montré que manger ou boire beaucoup de produits laitiers, comme le lait ou le fromage, pourrait augmenter votre risque de cancer de la prostate.
En fait, l’ingestion de produits laitiers riches en calcium a été associée à un risque augmenté de cancer de la prostate en plus de faire baisser le taux de vitamine D dans le sang. C’est le surplus de calcium et la déficience en vitamine D qui augmenteraient le risque.
Nous avons besoin de plus de recherches pour savoir si manger moins de calcium ou moins de produits laitiers pourrait aider à prévenir le cancer de la prostate. Mais vous avez besoin du calcium – environ 800mg par jour – pour garder vos os en bonne santé. Vous pouvez obtenir 800mg de calcium en ayant un verre 200ml de lait, 30g de fromage et un petit yogourt. Pour l’instant, il est généralement recommandé d’éviter de consommer plus de calcium que la dose quotidienne habituelle.
Autres aliments
En outre, diverses autres études portant sur l’association entre le régime alimentaire et le risque de cancer de la prostate ont démontré qu’un régime à haute teneur en gras (saturé ou trans) peut faire augmenter le risque de cancer de la prostate.
Pour en savoir davantage sur le rôle des choix et des suppléments alimentaires dans un conText de prévention du cancer de la prostate, veuillez consulter notre section sur la nutrition et poids santé.
Les suppléments
Certaines personnes prennent des suppléments pour essayer de réduire leur risque de cancer, mais des études suggèrent que certains suppléments peuvent en fait augmenter votre risque de cancer.
La meilleure façon d’obtenir toutes les vitamines, minéraux et autres nutriments dont votre corps a besoin est de manger une alimentation saine et équilibrée, y compris beaucoup de fruits et légumes. Si vous utilisez des suppléments, ne prenez pas plus que la dose journalière recommandée.
Maintenir un poids santé
Le poids santé n’est pas le même pour tout le monde; c’est pourquoi nous vous invitons à consulter votre médecin afin de savoir quel est votre poids santé à vous. Avoir un poids santé ne signifie pas être maigre comme un mannequin; par contre vous pourriez avoir des surprises en apprenant combien de kilos « superflus » font de vous une personne obèse ou simplement qui fait de l’embonpoint, d’un point de vue médical.
Certaines études récentes démontrent que les hommes qui font de l’embonpoint ou qui sont obèses risquent davantage de recevoir un diagnostic de cancer de la prostate qui est avancé ou qui s’est déjà propagé (métastases) à d’autres parties du corps.
Les études démontrent que le maintien d’un poids santé réduit le risque personnel de cancer.
Qu’est-ce qu’un régime alimentaire sain
Bien manger, cela commence par la consommation d’une variété d’aliments au quotidien afin d’obtenir tous les éléments nutritifs essentiels à une bonne santé.
C’est avant tout une question d’équilibre, de modération et de variété. Une saine alimentation – comprenant beaucoup de légumes et de fruits, beaucoup de fibres, des protéines faibles en gras provenant du poisson, de la volaille et des viandes maigres ainsi que peu de gras et de sel – vous aidera à maintenir un poids santé.
Suivre le Guide alimentaire canadien peut vous aider à:
- satisfaire vos besoins en vitamines, minéraux et autres nutriments
- réduire votre risque de maladie cardiaque
- contribuer à votre santé et votre énergie en général
Il indique le nombre de portions de chaque groupe d’aliments que les hommes âgés de 51 ans et plus devraient consommer par jour.
Légumes et fruits (7-9 portions)
Visez à manger au moins un légume vert foncé et un légume orange par jour.
- La laitue romaine, les épinards et le brocoli sont des exemples de légumes vert foncé.
- Les patates douces, les carottes et les courges fonctionnent bien comme légumes orange.
Cherchez des fruits et des légumes cuits à la vapeur, cuits au four ou sautés – et évitez ceux qui sont frits.
- Il est préférable de choisir des légumes et des fruits qui ne sont pas préparés avec beaucoup de sel, de matières grasses ou de sucres ajoutés.
- Choisissez des fruits et des légumes entiers plus souvent que le jus, pour réaliser votre objectif de portions quotidiennes.
Céréales (7 portions)
Les céréales entières devraient constituer au moins la moitié de vos portions quotidiennes de céréales.
- Recherchez des options de grains entiers comme l’orge, le riz brun, le quinoa, l’avoine, le riz sauvage, les pains et pâtes de grains entiers.
- Comparez les informations nutritionnelles – et choisissez des céréales à faible teneur en sel, en matières grasses et en sucre.
Produits laitiers et substituts (3 portions)
Choisissez des produits laitiers à faible teneur en matières grasses et buvez du lait chaque jour.
- Pour les produits laitiers (tels que les fromages et les yaourts), comparez les informations nutritionnelles et choisissez des options qui ont une teneur faible en matières grasses.
- Vous devriez viser à boire 2 verres de lait par jour pour s’assurer que vous obtenez assez de vitamine D.
- Choisissez soit le lait écrémé, le lait 1% ou 2%, ou des boissons de soya enrichies.
Viandes et substituts (3 portions)
Cherchez des viandes maigres et des substituts qui ont peu de sel et de graisse ajoutés.
- Enlevez la peau de la volaille et la graisse visible sur la viande.
- Faites cuire, rôtir ou pocher les viandes préparées et les autres substituts.
- Lors du choix de viandes préemballées, comparez les informations nutritionnelles et choisissez celles avec le moins de sodium et de graisse.
- Consommez au moins 2 portions de poisson par semaine. Par exemple, vous pouvez choisir de manger du hareng, de l’omble, du maquereau, du saumon ou de la truite.
L’importance de l’activité physiques
Ne vous laissez pas intimider par l’idée de pratiquer une « activité physique ». S’entraîner au gym ou s’adonner à un sport est excellent, mais il existe bien d’autres moyens d’être actif.
Visez à faire au moins 150 minutes (2,5 heures) d’exercice modéré par semaine, comme la marche rapide, le vélo ou pousser une tondeuse à gazon. À titre d’exemple, il a été démontré que marcher 20 minutes par jour, soit l’équivalent de 1.6 km, réduit de 30% le risque de cancer de la prostate.
L’exercice doit être suffisamment dynamique sans être trop demandant. L’important est d’augmenter la fréquence cardiaque. Voici quelques trucs pour être actifs.
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par un auteur Anonyme, 59 ans Nous sommes en 1996. J’ai 59 ans. Lors de mon rendez-vous médical annuel, on m’annonce les résultats de mon taux d’ASP : 4,3. L’urologue recommandé par mon médecin me suggère alors de subir une échographie transrectale et des biopsies. Les résultats révèlent l’existence d’un cancer de la prostate et […]
Sources et références
Dernière révision médicale et éditoriale: janvier 2024. Voir notre comité de valiation de nos pages Web et nos collaborateurs en cliquant ici.
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Symptoms, risk and screening
Are you over 50 years old, or have you been having urinary problems for some time now? This video is for you! Several diseases can affect your prostate, and it’s important to detect them early. Let’s take a closer look.
Anatomy
What is the prostate
The prostate is a gland:
- Located between the bladder and the penis, just in front of the rectum;
- Formed of 2 lobes which surround the urethra, a canal that runs through the center of the prostate, from the bladder to the penis, letting urine and sperm flow out of the body;
- The size of a walnut, which grows larger in size in your forties;
- That has a soft, spongy texture to the touch like a small, ripe plum.
The prostate is made of:
- Gland cells that secrete liquids for ejaculation;
- Muscle cells that participate in the evacuation of your sperm during ejaculation;
- Fiber cells that maintain the structure of the gland.
Around the prostate, we find:
- The seminal vesicles, glands that produce sperm and that are located on either side of the prostate;
- The vas deferens, the tube that carries sperm from the testicle to the seminal vesicles;
- The nerve bundles that control your bladder and erectile function and that are located on either side of your prostate.
Structure
Three main zones of the prostate
Peripheral zone
- The peripheral zone is the largest area of the prostate. It can easily be felt by the doctor during a digital rectal exam (DRE).
- Most prostate cancers start in the peripheral zone.
Transition zone
- This is the area located in the middle of the prostate, between the peripheral and central areas. It surrounds your urethra that runs through the prostate.
- With age, the transitional area increases in size until it becomes the largest portion of your prostate. This is called benign prostatic hyperplasia (BPH) or enlarged prostate.
Central zone
- It is the part of the prostate that is farthest from the rectum. This is why prostate tumors located in this area can not be felt by the doctor during a digital rectal examination.
- If the doctor is in doubt, the following information will help decide if additional investigation is necessary:
- Your PSA level
- Your age and family history
- Your ethnic origin
Fonction
In short
Your fertility and natural fertilization
- It produces … a prostatic fluid rich in enzymes, proteins and minerals that nourishes and protects your spermatozoa.
- It makes … a protein (APS) that is used to liquefy your sperm to facilitate the mobility of your spermatozoa.
- It allows … ejaculation by contracting.
- It promotes … fertility through its enzymes facilitating the penetration of sperm through the cervix.
- It is not related to the mechanism of erection. Therefore, the origin of erectile dysfunction lies elsewhere.
Additional details
Exocrine Function
The prostate is made up of thousands of tiny fluid-producing glands. Specifically, the prostate is an exocrine gland. Exocrine glands are so-called because they secrete through ducts to the outside of the body (or into a cavity that communicates with the outside). Sweat glands are another example of an exocrine gland.
The fluid that the prostate gland produces forms part of semen, the fluid that carries sperm during orgasm. This fluid, produced in the prostate, is stored with sperm in the seminal vesicles. When the male climaxes, muscular contractions cause the prostate to secrete this fluid into the urethra, where it is expelled from the body through the penis.
Urine Flow
The prostate wraps itself around the urethra as it passes from the bladder to the penis. Prostatic changes can affect urine flow. Increasing the size of the prostate or muscle tone may impede the flow of urine due to the close anatomical relationship between the urethra and the prostate.
Prostate Specific Antigen (PSA)
The prostate also produces a protein called prostate-specific antigen (PSA). PSA is released with the ejaculatory fluid and can also be traced in the bloodstream. The testing of PSA levels in the blood is used to detect prostate cancer. The level of PSA in the blood is usually measured in nanograms of PSA per milliliter of blood (ng/mL).
A raised PSA level
Usually, a PSA rate of less than 4 nanograms per milliliter of blood is normal, but age should also be taken into consideration as PSA levels gradually increase with age. A rise in PSA concentration may indicate the presence of:
- An enlarged prostate (benign prostatic hyperplasia)
- An inflammation or infection of the prostate (prostatitis)
- A prostate cancer
Your doctor will have you undergo other tests to determine the exact cause of the increase in your PSA.
We are here for you
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Sources and references
- Prostate Cancer – Understand the disease and its treatments; Fred Saad, MD, FRCSC and Michael McCormack, MD, FRCSC, 4th et 5th editions
- Canadian Cancer Society
- Prostate Cancer Foundation-PCF.org
- National Cancer Institute-USA
- American Cancer Society
- Memorial Sloan Kettering Cancer Center
- Prostate Cancer UK
Last medical and editorial review: September 2023
Written by PROCURE. © All rights reserved